Depuis quelques semaines, sous mes publications, je propose des visuels que certains diront, travailler pour mon identité éditoriale.
Une série de visages, de figures. D’hommes, de femmes, d’enfants. Bien souvent en noir et blanc.
J’apprécie tout particulièrement les regards. Qu’importe, d’ailleurs, ce qu’il s’y dégage (tristesse, mélancolie, joie, colère…). Je trouve que cela se marie assez bien avec le fond de ma partie rédactionnelle.
Et pour continuer d’illustrer mes propos, sans plus dépendre de banques d’images où tout un chacun fait son marché, j’ai décidé de tester l’Intelligence artificielle “texte/image”.
Pour le plaisir de titiller l’IA. Pour m’amuser un peu. J’ai pris un site au hasard. Intuitif, rapide et gratuit en l’occurrence.
J’ai posé ses mots dans la barre de “recherche” (ou plutôt la barre de “travail”) : “le visage d’un homme”.
Le résultat, vous l’avez sous les yeux !
Évidemment, c’est quelque peu flippant ! Rien à voir avec les clichés sous mes autres posts.
Ce n’est qu’une esquisse. Car, le site vous propose de continuer à retravailler l’image. Sans nul doute que je serais arrivé à un résultat encore plus vivant, prenant, édifiant, si j’avais continué le test.
L’IA dans le graphisme, mais aussi dans l’écriture web s’est invité et vient changer nos métiers. Nous ne pouvons pas revenir en arrière, c’est un fait !
L’IA va-t-il nous remplacer ? Non ! Il lui manque la sensibilité, le cœur, les tripes. Elle n’a pas l’expérience des blessures, des fractures. Des victoires, des défaites. Elle n’existe que par une base de données. Il nous suffit de fermer le robinet.
Mais son évolution est grandissante, exponentielle.
La princesse L’IA, chez vous, chez moi, vous en pensez quoi ?